Army of Two, un jeu vidéo qui défouraille !
Oui, oui, vous avez bien lu, ELLE (oui aujourd’hui je parle de moi à la 3ème personne, et alors?) parle de jeu vidéo et en plus de jeu qui « défouraille ». Certains ne seront pas surpris, d’autres en revanche seront étonnés qu’une fille si fiiiiiiiiiille parle de jeu vidéo, dans ce langage étrange en plus, et que visiblement le jeu en question ne soit pas les Sim’s & co.
Sauf que ELLE est aussi BARBIE et que ce fameux surnom vient, pour ceux qui n’ont pas lu le A propos (vilains va !), d’une pratique aiguë (à une certaine époque) de Counter Stike, ce fameux FPS où je prenais un malin plaisir à aligner les frags avec mon fusils à pompe face à des GI Joe/machos en puissance.
So jouissif d’entendre les mecs dire « euh BARBIE t’es une fille, sérieux, GG » (ouais, j’me la pète et alors lol). J’étais, hum, comment dire, complètement bourrine dans mon style de jeu et on va même dire que c’est plutôt ma marque de fabrique en jeu de shoot. En gros, l’infiltration discrète c’est pas mon truc, je préfère foncer et tout défoncer.
Et bien Army of Two, jeu optimisé pour le mode collaboratif, est ce genre de jeu bourrin et qui offre en plus quelques originalités.
Chez nous, on aime les jeux vidéos en co-op’ surtout quand c’est des FPS parce que quand on joue, bah on joue pas tout seul (et que franchement regarder l’autre jouer en attendant qu’il nous passe la manette c’est relou). On a donc été super content quand notre pote n°1 de jeu vidéo (celui-là même qui passe souvent des nuits blanches à la maison pour la gloire du jeu vidéo) nous a dit qu’il venait d’acheter Army of Two, LE jeu qu’on avait justement repéré cet aprem’ (c’était hier) chez Micromania. Soirée/nuit jeu vidéo obligatoire donc !
L’achat, assez impulsif, ne nous assurait pas forcément de passer un bon moment parce que, il faut l’avouer, y’a souvent des jeux « mouais »…
Peut-être pas doués ou juste un peu rouillés (ça fait longtemps qu’on n’a pas joué, oui, pov’ nous), on a déjà eu du mal à le trouver, le fameux mode co-op’. On a même un peu flippé. En fait, c’était tout bête, il suffisait de connecter la manette du joueur 2 à un autre profil ( pour la Xbox 360 en tout cas c’est ça, le jeu existe aussi sur PS3 pour info) et seulement après le menu Ecran partagé était disponible.
A partir de là, on a enfin pu se lancer et se mettre dans la peau des 2 mercenaires. Dès l’entraînement, l’action commence comme il faut.
La vue/visée est certes un petit peu perturbante au début car un peu décalée, les mouvements un peu lents aussi, mais on s’y fait rapidement.
On découvre rapidement la principale stratégie de la coopération de ce jeu à savoir que quand l’un tire comme un malade, l’autre devient invisible (en gros 1 attire l’attention, pour permettre à l’autre d’avancer furtivement). C’est marrant ! (et pas dur de deviner que c’est moi qui me dévoue pour le rôle du videur de chargeur). Il y a aussi le tir synchronisé, le dos-à-dos (very-pratique quand on est entouré d’ennemis), le « je suis blessé, traîne moi plus loin pour me soigner pendant que je te couvre« , et d’autres trucs genre courte-échelle, saut en parachute à deux (un dirige, l’autre tire), … Bref c’est assez drôle, tirant vers le style xXx (triple X, avec Vin Diesel) d’après Benj.
Vous l’aurez compris ce n’est pas un jeu qui se veut sérieux. C’est du gros bourrinage avec des gros clichés même dans les dialogues mais c’est ce énième degré qui rend le jeu sympa un peu dans le genre Gears of War.
Visiblement, d’après jeuxvidéo.com (ne vous arrêtez pas au test, allez aussi voir les avis), le jeu aurait une faible durée de vie (7h en mode mission – sachant qu’il se joue aussi en ligne en affrontement 2 contre 2) et serait assez répétitif.
Moi et les 2 gars qui ont joué hier soir, on a franchement super accroché à ce jeu (et je tripe sur leurs masques de mort). Certes, ce n’est pas le jeu du siècle mais il a le mérite d’apporter de la nouveauté et surtout on va encore bien se marrer sans avoir non plus à se prendre la tête sur un jeu trop compliqué parce que malheureusement, les moments où on a le temps de jouer se font rares.
-
Pitch
-
http://www.h2-blog.com/ Anne-Laure
-
http://www.h2-blog.com Benjamin
-
Lilianne